Morosité persistante dans la zone euro, embellie confirmée de l’Islande ont eu raison de l’arrogance de nos élites. L’Islande, premier pays européen touché par la crise en 2008, a retrouvé le chemin de la prospérité : croissance de 2,5% du PIB, un chômage de 5%, excédents du commerce extérieur et des comptes publics. Les choix de politique économique de ce petit pays se retrouvent projetés sous la lumière de l’oligarchie. Dans les hautes sphères des centres de décision, les masques tombent, (…)
Accueil > Rubriques du site > International > Europe et Union Européenne > Europe du Nord > Islande
Islande
-
Une Chape de plomb recouvre la visite officielle du Président islandais
4 mars 2013 -
L’Islande et le refus de l’austérité
14 octobre 2012Face à la crise économique, alors que l’Union européenne a choisi la voie de l’austérité et a décidé de sauver les banques, l’Islande a au contraire procédé à la nationalisation des institutions financières et a rejeté les politiques de restrictions budgétaires. Avec un taux de croissance de 2,7% en 2012, même le Fonds monétaire international (FMI) salue le redressement économique du pays.
Lorsqu’en septembre 2008, la crise économique et financière a touché l’Islande, petit archipel du (…) -
Comment l’Islande traque les “banksters”
15 juillet 2012A Londres, Barclays a falsifié les taux d’intérêts des prêts entre banques. A Madrid, Bankia aurait manipulé ses comptes pour entrer en Bourse. Comment obliger les banques fautives à rendre des comptes ? En Islande, des enquêteurs recherchent les fraudeurs pour les traduire en justice. Extraits.
Avant la crise économique, Olafur Hauksson était commissaire de police à Akranes, petit port de 6 500 habitants planté au bout d’une péninsule glacée, à une cinquantaine de kilomètres de (…) -
La révolution en cours en Islande
4 avril 2012Un nouvel article sur la révolution en cours en Islande...ce pays dont la presse ne parle plus beaucoup
À mesure qu’un pays européen après l’autre fait face a une quasi-faillite, mettant en péril l’euro, l’Islande devient un phare d’espoir pour avoir choisi les gens avant le profit. Voici pourquoi.
Cinq ans d’un régime néolibéral ont conduit à une privatisation de toutes les banques en Islande, (320.000 habitants, pas d’armée). afin d’attirer les investisseurs étrangers. Ces banques (…) -
L’Islande est notre Utopie moderne
24 décembre 2011En rejetant par référendum le sauvetage de leurs banques et le remboursement de la dette extérieure du pays, les Islandais ont montré qu’il est possible d’échapper aux lois du capitalisme et de prendre son destin en main, se réjouit un historien espagnol
Comme l’écrivait Oscar Wilde, une carte sans l’île d’Utopie n’est pas digne d’un regard. Or l’Islande est passée du statut d’enfant chéri du capitalisme tardif à un projet de démocratie réelle, ce qui laisse à penser qu’une carte sans (…) -
L’Islande, une caricature des méfaits du libéralisme ?
31 octobre 2011Le premier ministre Islandais David Oddson, nommé en 1991, a emporté le pays dans l’ultralibéralisme le plus total. Le bilan ? Une dette qui s’élève à 850% du PIB, cinq fois la dette de la Grèce...
À écouter les médias, le seul phénomène digne d’intérêt en Islande, ce sont les volcans qui empêchent les avions de voler. Et pourtant…
Je suis plongé dans la lecture de « Boomerang », le dernier bouquin du journaliste économique américain Michael Lewis, auteur l’an dernier de (…) -
Quand le peuple islandais vote contre les banquiers
27 août 2011Un rappel salutaire pour celles et ceux qui pensent que l’on ne peut rien face à la dette quand sous la pression des spéculateurs, tant de gouvernements font le choix de l’impuissance ou de la complicité.
Consultés par référendum, les Islandais suggèrent une autre voie : adresser la facture de la crise à ceux qui l’ont provoquée.
Petite île, grandes questions. Les citoyens doivent-ils payer pour la folie des banquiers ? Existe-t-il encore une institution liée à la souveraineté populaire (…) -
NON et encore NON !
17 avril 2011Le 9 avril 2011, les Islandais ont refusé, à près de 60%, de payer pour assumer les erreurs de ceux qui ont conduit leur pays dans l’abîme. Ils ont une nouvelle fois refusé par référendum l’accord Icesave, qui prévoit que l’État indemnise les centaines de milliers d’épargnants britanniques et néerlandais ayant perdu de l’argent lors de la faillite de cette banque en ligne en 2008.
Ils ont donc confirmé le premier « non » prononcé en mars 2010, ce qui agace au plus haut point tout à la (…)